Réunions avec les institutions et les organismes

Réunions avec les institutions et les organismes

Dans le cadre de ses activités liées à la promotion d’une gestion responsable des déchets d’emballages, le Président de l’APAB, accompagné du Directeur exécutif, a été reçu en audience par Madame la Ministre de l’Environnement et de la Qualité de la Vie, le 25 juin 2025.

Lors de cette rencontre, la délégation de l’APAB a réitéré l’engagement de l’association en faveur de la Responsabilité Élargie des Producteurs (REP). À cet effet, le Président de l’APAB a plaidé pour la mise en œuvre de l’éco-organisme volontaire ECO-APAB, un dispositif conçu dans le cadre d’une composante du projet FILREC, issu de la coopération algéro-allemande (GIZ).

Madame la Ministre a pris acte de cette initiative, d’autant plus que la loi n° 25-02 du 20 février 2025, modifiant et complétant la loi n° 01-19 du 12 décembre 2001 relative à la gestion, au contrôle et à l’élimination des déchets, vient consolider, en son article 7, la base juridique pour la création d’éco-organismes volontaires.

Au regard de l’attente des textes d’application nécessaires à l’opérationnalisation de cette nouvelle disposition légale, il a été convenu de temporiser le lancement de l’éco-organisme ECO-APAB.

D’ici là, les membres de l’APAB restent mobilisés autour des enjeux de la REP et se sont déclarés prêts à s’investir dans l’éco-organisme à venir, qui prendra la forme d’un Groupement d’Intérêt Économique (GIE).

En date du 29 mai 2025, le Président de l’Association des Producteurs Algériens de Boissons (APAB), accompagné du Directeur exécutif, a été reçu en audience par Monsieur le Ministre du Commerce Extérieur et de la Promotion des Exportations.

Au cours de cette rencontre, Monsieur le Ministre a tenu à souligner l’importance de l’accompagnement des opérateurs économiques en matière de commerce extérieur, en les invitant à renforcer la qualité et la compétitivité des produits nationaux, dans l’objectif d’accroître les volumes et la valeur des exportations hors hydrocarbures.

Par ailleurs, Monsieur le Ministre a réaffirmé la priorité accordée par son département à l’appui des entreprises algériennes engagées dans l’exportation, notamment dans le secteur des boissons. Il a mis l’accent sur la nécessité de lever les contraintes administratives et logistiques, et d’assouplir le dispositif lié au commerce extérieur, afin de faciliter les démarches à l’export.

Pour sa part, le Président de l’APAB a exprimé l’engagement des entreprises membres à poursuivre leurs efforts en vue de l’amélioration continue de la qualité des produits et l’intensification de leurs opérations d’exportation.


En date du 21 mai 2025, le Président de l’APAB, accompagné de certains gérants d’entreprises membres activant dans la production de boissons rafraîchissantes et d’eaux embouteillées, a été reçu en audience par Monsieur le Ministre du Commerce intérieur et de la Régulation du marché national, en présence du Président du CREA.

Cette rencontre a principalement porté sur les boissons énergisantes et sur les amendements attendus de certaines dispositions de l’arrêté interministériel de 2022 relatif aux boissons rafraîchissantes.

En date du 21 mai 2025, le Président de l’Association des Producteurs de Boissons (APAB), accompagné de plusieurs gérants d’entreprises de production de boissons rafraîchissantes et d’eaux embouteillées, s’est réuni au siège du Conseil du Renouveau Économique Algérien (CREA), sous la présidence de Monsieur Kamal Moula, Président du CREA.

Cette réunion a porté principalement sur les spécifications légales et réglementaires encadrant les produits suivants :

• Sodas, limonades et boissons gazeuses aromatisées ;

• Boissons non gazeuses aromatisées ;

• Préparations pour boissons instantanées aromatisées ;

• Sirops ;

• Boissons au lait ;

• Boissons aux extraits de thé ;

• Boissons énergisantes.

Les échanges se sont référés notamment aux dispositions de l’arrêté interministériel de 2022, fixant les critères techniques et sanitaires relatifs à ces catégories de boissons.

L’un des points centraux abordés a été la remise en cause de la base de calcul des redevances appliquées par AGIRE sur les eaux minérales et eaux de source. Les participants ont dénoncé une méthode unilatérale de calcul qui, en grevant le prix de revient, pénalise l’ensemble du secteur de l’embouteillage.

Des discussions ont également porté sur :

• Le non-respect par certains commerçants des conditions réglementaires de mise en vente de ces boissons ;

• Le non-respect des mises en garde sanitaires figurant sur l’étiquetage des boissons énergisantes, notamment par certains consommateurs vulnérables, ce qui soulève des préoccupations en matière de santé publique.